2009-01-17 

Smash we can!

Un aperçu au sujet de la résistance contre le sommet de l’Otan à Strasbourg et Baden-Baden.

Un des sujets du meeting de Strasbourg du 16 au 18 janvier est , hormis celui de converger et de se plannifier de façon commune, d’obtenir une conniassance mutuelle des forces et faiblesses des mouvements dans les différents pays d’Europe.
Pour cela, nous avons traduit un texte publié dans un quotidien de gauche allemand qui donne un sommaire des activités. Mais ce texte n’a pas d’égard pour la situation courante des radicaux non-dogamtiques, anarchistes, autonomes de gauches en allemagne. etc…
Ce bref sommaire a pour but de fournir ces manques.

Beaucoup estiment que le sommet de Heiligendamm est une mobilisation commune de tout les spectres, ils ont accepté les différentes formes d’actions ou au moins ne les ont pas critiqué. Ce succès n’aurait pas été possible sans les groupes radicaux qui ont substantiellement organisé les infrastructures. En marge de la manifestation préliminaire du 2 juin à Rostok, des concepts différents de blocages (BlockG8, locus décentralisés) sont été conservés dans la conscience des mouvements et utilisés depuis avec succès aet aussi bien dans les villes.

Bild: Plakat

Après le G8 il y a eu beaucoup de tentatives pour transformer ce coup d’essai en un réseau continu. La “gauche interventionniste” en es un de ces projets qui ont tenté de s’organiser en groupe radicaux de façon fédérale. “Les jours de perspectives” ( tradcution littérale du terme “Perspektiventage” utilisé en allemagne), qui se sont déroulés après Heiligendamm étaient eux plus adressés aux groupes “non radicaux”. La dernière réunion a pourtant été revisitée en alternatives.. Une approche similaire est suivie par le groupe “Bundeskoordination Internationalismus” (qui existe depuis 1977) qui essait d’approfondir les sujets actuels dans leur conférence annuelle.

De nouveaux mouvements ont émergés ou bien éclaté après Heiligendamm. L’appétit des militants et de leurs actions se perpetuent ( voir http://directactionde.blogspot.com), il na été régulièrement vue des black block dans les manifestations. A berlin se déroule une réunion mensuellle appelée “Autonomous Assembly”. (l’assemblée autonome).
La répression qui a pris place peu avant le sommet, procura aux authorités une introductions aux structures qqui sont contre le G8, mais a aussi donné son dernier trajet à la mobilisati.on. Mais cela ne pris pas fin pour autant: en Juillet 2007 la police fédérale (BKA) arrêta 3 hommes les accusant de brûler des voitures militaires. Une autre personne fût prétendu être “la tête intellectuelle” du même groupe and fut aussi emprisonné. La police prétendant avoir trouvé leurs piste grâce aux raids avant le G8. Ils étaient soupçonné d’être membre du “militante gruppe” (“groupe militant”) qui est accusé d’avoir commis des douzaines d’actions militantes.Au moins le travail de solidarité est capable de populariser l’idée de “pratique antimilitariste”; une issue importante pour la mobilisation contre l’OTAN.

Les autorités de persécution ne sont pas silencieuses en tout cas. Après un réarrangement, maintenant les pays fédéraux sont responsables de la définition de “Versammlungsgesetze” ( lois au sujet des rallyes et des manfiestations,ils contrôlent aussi l’étiquetage et l’enregistrement du public qui proteste.). La Bavièredécida d’un amendement en 2008, qui restreint largement le droit de protester. Les Black blocks sont interdits, le simple fait de se vêtir d’habits noirs peut être perçu comme une “affirmation de militance”. Baden-Württemberg, (ville où se tiendra l’Otan du côté Allemand) voudrait faire passer un décret similaire rapidement.

Les projecteurs autour des mouvements en Allemagne depuis 2007, la liste n’est pas complete:

Liens de résistance contre la conférence de l’Otan:
http://gipfelsoli.org/Home/5404.html

Les amis de Dissent!, Berlin

Continue on http://www.gipfelsoli.org/NATO_2009_english/5950.html